Suite et fin de notre aventure sur le degré idéal du rhum avec la compilation des 63 réponses obtenues sur Facebook. Celles-ci ne nous donneront qu’un aperçu partiel mais nous pourrons avoir au moins une petite idée du degré idéal de l’amateur présent sur les réseaux sociaux. Nous sommes tout de même bien conscients du biais de notre modeste étude : nous n’avons récupéré les avis que d’une frange très experte, et très consommatrice, des consommateurs de rhum. En effet, l’amateur de rhum coca ou de rhum arrangé ne lit pas forcément nos lignes.
Le degré idéal, les chiffres :
Nous allons faire deux petites remarques pour illustrer les résultats, qui sont assez explicites par ailleurs :
- Il y a tout de même 24% des amateurs qui ont choisi la tranche 56%-60%, qui correspond selon nous à la tranche des rhums « forts ». Il existe donc bien une demande pour ces rhums puissants, que l’on trouve plus du côté de la mélasse, en Jamaïque principalement, mais également en Guyana.
- A l’opposé, les rhums trop réduits n’ont que peu d’aficionados parmi les grands amateurs, mais cela n’étonnera personne.
Les chiffres sont clairs, nous avons la confirmation qu’il n’y a pas UN degré idéal, mais qu’une tendance se dégage tout de même avec l’habitude de la dégustation, et l’augmentation du budget qui va souvent de paire.
Merci à tous ceux qui ont participé à ce petit dossier sur le degré idéal : Marc Sassier, les pros, Roger et vous tous qui avez répondu.
Bonsoir
Alors il m’est arrivé d’ingurgiter un rhum 90• à la frontière suriman Guyana c’était…a ne pas reproduire
Il est vrai qu’un 50 reste un bon pesage à mon sens ayant vécu à 30m de la rhumerie st Maurice 😉
Merci pour vos articles
Je ne bois pas d’alcool
Juste du rhum parce que je suis un pirate🤟
Bonsoir Yves,
Merci à vous pour votre message et bravo pour avoir réussi à survivre au rhum à 90° !
Pirate peut-être, mais je vous imagine plutôt en Indiana Jones vu le lieu de dégustation évoqué dans votre message 😉
Simon